Hugo

Ce bel Haflinger s’appelle en fait Strolch (voyou), mais le couple qui l’a acheté alors qu’il avait cinq ans l’a rebaptisé Hugo. C’est en cherchant un cheval pour tenir compagnie à leur jument Vorina qu’ils ont découvert Hugo, né chez un éleveur de l’Oberland zurichois. En fait, la dame ne voulait pas d’un « Haflinger têtu », mais son mari fut tout de suite enchanté et décida même d’apprendre à monter avec ce cheval. Et l’aventure commune commença ; les deux suivirent une formation prodiguée par une cavalière chevronnée et devinrent une paire harmonieuse. Hugo apprenait avec facilité toutes les disciplines : dressage, équitation baroque, leçons aux rênes longues, saut… Hugo était aussi le chouchou des nombreux enfants et adolescents qui osaient le monter. Ce Haflinger éveillé est très curieux, aime les gens et est un vrai roublard qui sait ouvrir les portes et se glisser sous chaque barrière.

Hugo est et reste une tête de mule avec un avis bien trempé - c'est comme ça que nous l'aimons! Désigné compagnon d’intégration, il devait accompagner les nouveaux venus au Jeanbrenin afin de faciliter leur intégration dans le troupeau. Mais c’était sans compter sur Hugo. Bien qu'il n'entretienne actuellement aucune amitié étroite avec un autre cheval, le Haflinger ne voulait qu’une chose: rejoindre au plus vite son troupeau. Les nouveaux ne semblent pas lui plaire. Pour l'instant, il est donc libéré de cette fonction, un autre ayant pris le relais. Mais qui sait... peut-être qu’un nouveau venu se révèlera être un chouette compagnon de route? ... Un peu de courage, cher Hugo!

Notre montagne magique offre un décor de rêve pour les prises de vues. Par exemple Hugo, qui s’est assuré d’une place au soleil sur le vaste pâturage. Notre photographe peut l’observer en toute tranquillité à travers les branches d’un arbre, immortalisant ainsi cette ambiance féérique.

L’hiver s’est installé sur le Jeanbrenin, comme d’ailleurs dans les Franches-Montagnes. Aujourd’hui, c’était un jour particulièrement agréable…de la neige fraîche, du soleil, un ciel bleu et presque pas de vent – que peut-on souhaiter de plus beau? Le troupeau sur la montagne magique a été autorisé à fouler le pâturage enneigé sur lequel il a galopé à l’envie. Mais faire la course et s’amuser donne faim, raison pour laquelle nos soigneurs ont réparti de petits tas de foin. Hugo cherche une place adéquate afin de pouvoir apprécier ce petit en-cas sans être dérangé.

Un nouvel automne touche à sa fin et même au Jeanbrenin, la fin de la saison au pâturage approche. Les animaux peuvent bien sûr aussi sortir durant l’hiver, pour se défouler dans la neige. Mais les arbres n’auront alors plus de feuilles ou de bourgeons à grignoter et l’herbe sera soit gelée, soit recouverte d’une épaisse couche de neige. Hugo préfère rêver encore sous le soleil. Les saisons rythme notre vie et après 6 ans passés au Jeanbrenin, Hugo sait que chaque rude hiver est suivi du printemps…

Cäsar suit son ami Hugo comme son ombre et il donc actuellement difficile de trouver une photo où les deux hongres ne sont pas ensemble. De loin, ils se ressemblent beaucoup, bien que Cäsar soit un Franches-Montagnes, pas un Haflinger. Les deux messieurs peuvent encore profiter des belles journées automnales et des magnifiques pâturages de notre montagne magique.

Hugo aime manger! Il goûte donc à tout dehors, que ce soient les feuilles d’une plante à épines, comme sur la photo, ou celles d’un jeune tilleul qu’une récente tempête a déraciné. Mais dans sa hâte, Hugo n'a pas remarqué que l’arbre touchait un fil électrique. Un bref «zack» et notre Haflinger bondit en arrière…ses oreilles ayant été en contact avec le courant. Mais Hugo ne serait pas Hugo s’il n’avait pas trouvé le moyen de grignoter tout autour de la zone dangereuse.

Le solitaire avéré Shandy apprécie désormais de brouter parfois tête contre tête avec Hugo. Les deux blondinets ont l’air vraiment heureux et tondent l’herbe à ras. Heureusement que la pluie tombe régulièrement, faisant repousser le tapis vert. Il ne devrait ainsi pas y avoir de sécheresse et donc de manque de nourriture cet été.

Hugo est un vrai glouton. Il avalerait n’importe quel médicament, aussi peu appétissant soit-il, juste pour recevoir après un bout de carotte, de pomme ou un morceau de pain sec. Pas étonnant donc que ce beau blondinet va de lui-même à la rencontre des visiteurs vers la barrière dans l’espoir que les bipèdes amènent un petit quelque chose à manger avec eux. C’est vrai qu’il est difficile de résister à ses yeux de cocker… Mais attention: de la nourriture inadaptée ou trop abondante peut gravement nuire à la santé de nos animaux, par exemple en provoquant de dangereuses coliques. Si la santé de Hugo et de ses compagnons vous tient à cœur, ne nourrissez jamais les animaux ou alors adresser vous tout d’abord aux palefreniers.

Le printemps c’est enfin également installé sur notre montagne magique, où les pissenlits transforment les vastes pâturages en une mer de fleurs jaune. Hugo et les autres chevaux du Jeanbrenin doivent se croire au paradis. Un petit galop décontracté sur le pâturage? Non merci, ils lèvent à peine la tête, préférant brouter presque 24h sur 24h

Hugo et ses amis n’en reviennent pas de cette météo d’avril exécrable. À peine les jonquilles enjolivaient-elles les prairies que cette décoration fut recouverte par la neige. Hugo reste zen, jouant avec son ami Caesar pour ne pas avoir froid.

À quoi Hugo peut-il bien rêver? Probablement d’un galop débridé sur les pâturages verdoyants. Ou de l’herbe tendre qui va bientôt pousser entre les jonquilles. Et oui…l’hiver est de nouveau interminable et il n'y a pas que nos animaux qui attendent le retour des journées tempérées avec impatience!

Le beau manteau neigeux a malheureusement de nouveau fondu, même sur notre montagne magique située pourtant plus en hauteur. Pas de neige signifie retour sur la place sèche pour les chevaux afin de préserver le sol, respectivement l’herbe à venir. Hugo semble le prendre avec philosophie, profitant de sa journée au soleil.

Enfin – les pâturages de la montagne magique sont enneigés et le sol gelé, ce qui offre au troupeau assez de place pour courir, jouer et se défouler à l’envie. Hugo et ses amis jaillissent hors de leurs boxes le matin pour galoper à fond sur les champs, avant de se consacrer au foin distribué.

Une amitié entre hommes est-elle en train de naître ou Lupo et Hugo ont-ils juste quelque chose à discuter ensemble? Jarl, qui semble vouloir s’en mêler, reste toutefois à distance, semblant ne pas être vraiment sûr des intentions des deux hongres.

De la neige! Youppie! Mais hélas, qui pense que les Franches-Montagnes se présentent désormais dans toute leur splendeur hivernale se trompe, le tapis blanc ayant vite disparu. Néanmoins, cela a suffit pour faite quelques clichés hivernaux, comme celui de Hugo sous un arbre couvert de gel.

Depuis quelques temps, Hugo reçoit un médicament contre le syndrome de Cushing. Malheureusement, cela n’a pas rendu son poil plus lisse et luisant. La fourrure du Haflinger est toujours ébouriffée et beaucoup trop épaisse. La tondeuse est donc entrée en action. Hugo connaît bien cette procédure durant laquelle il ne bronche pas.

C’est l’automne au Jeanbrenin. Les brumes matinales emballent le paysage d’un voile opaque, ce qui ne dérangent pas nos chevaux qui rejoignent leur pâturage à une allure joviale pour y brouter l’herbe couverte de rosée.

Enfin nos prières ont été entendues, faisant tomber la pluie tant attendue. L’herbe a repoussé en peu de temps, donnant l’impression à Hugo de vivre un deuxième printemps dans la même année. En tous cas, il ne quitte presque plus son pâturage si apprécié.

Par cette canicule persistante, chaque mouvement est de trop…C’est en tous cas ce que l’on pourrait croire. Mais notre Hugo est un véritable goinfre que rien n’empêche de rejoindre le pâturage en trottant afin d’y manger l’herbe, même desséchée.

Après un été 2021 pluvieux, on ose à peine le dire…mais quelques bonnes averses seraient les bienvenues. C’est certainement ce que pense également Hugo, occupé avec Strelitz à se protéger mutuellement des mouches.

Vague de chaleur signifie prolifération de mouches et autres insectes au Jeanbrenin. Et même si nos pensionnaires se réjouissent de brouter sur les pâturages, ces petites bêtes sont un véritable fléau. L’entraide est alors de rigueur. S’est bien ce que s’est dit Hugo qui a vite fait de trouver un partenaire pour une toilette mutuelle. Lorsque la canicule et les piqûres d’insectes deviennent trop fortes, nos animaux sont bien sûr « mis à l’abri» dans la fraîcheur agréable des écuries où ils en profitent pour se reposer.

Hugo et ses camarades savourent la saison au pâturage. Bien que les nuits soient encore fraîches, le troupeau du Jeanbrenin peut enfin aussi rester jour et nuit dehors. La liberté presque illimitée ainsi qu’une détention naturelle sur la montagne magique ne font pas seulement batte le cœur de nos vétérans; cette ambiance féérique enchante également les visiteurs.

Qu’est-ce que donc Hugo a trouvé pour s’occuper? Un beau tronc d’arbre facile à ronger, surtout l’écorce. Visiblement, cette tige a déjà fait le bonheur d’autres dentitions équines.

Qu’y-a-t-il de plus beau que le moment où la barrière menant à l’immense pâturage s’ouvre et que tous les chevaux s’élancent dans une exubérance générale direction «la liberté» ? Hugo aussi rayonne de bonheur à ce moment et l’on croit avoir sous les yeux un troupeau de jeunes chevaux fringants, pas de vétérans.

Nos vétérans n’ont quasi rien remarqué de la distanciation sociale ainsi que de l’obligation de porter le masque. Ils ont continué à apprécier la vie en troupeau et les contacts sociaux si important. Seul l’absence inhabituelle de visiteurs les a quelque peu intrigués. Hugo et Jarl nous font une belle démonstration du plaisir de savourer un instant paisible à deux. 

L’épais manteau blanc qui recouvre la montagne magique rend le paysage féérique. Hugo et ses compagnons apprécient le froid et la neige qui permet de se rouler sans retenue. Le soleil hivernal devient chaque jour un peu plus fort, réchauffant le dos de nos vieux pensionnaires.

Quel tumulte au Jeanbrenin! L’arrivée de cinq chevaux a provoquée de vives altercations durant plusieurs jours. Nos vétérans n’ont pas fait les délicats, montrant les dents et distribuant moult coups de sabots. Hugo a préféré se tenir en retrait de ces confrontations et se tient le possible à l’écart lors de telles évènements.

Image rare – Hugo et Shandy broutant côte-à-côte comme deux grands amis. Cette photo est spéciale car Shandy, d’habitude plutôt réservé, ne cherche pas forcément le contact. Au contraire d’Hugo, de nature très sociable.

Hugo a déjà laissé pousser quelques poils d'hiver au cours des derniers jours de froid. Toutefois uniquement à quelques endroits, ce qui donne à son pelage un aspect presque tacheté. Les drôles de taches de fourrure brillantes rendent le joli Haflinger encore plus unique.

Hugo et ses compagnons à quatre pattes ont brouté l’herbe des pâturages avec zèle et les surfaces ressemblent bientôt à un terrain de golf. Mais aucune crainte: les vendre rebondis nous prouvent que les animaux trouvent encore suffisamment à manger.

Hugo et ses amis font bombance dans l’herbe abondante de la montagne magique. L’herbe a tellement poussée après les pluies que nos collaborateurs ont même fauché un coin en plus, sans que nos animaux aient moins à manger. 

Le soir, Hugo salue joyeusement son ami Strelitz sur le pâturage. La conversation animée entre les deux Haflinger a-t-elle pour sujet le violent orage qui s’est abattu sur la montagne magique cet après-midi? Qu’il est bon d’être à l’abri sous l’un des grands sapins ou dans son box en cas de mauvais temps.

Un petit cadeau de la part des soigneurs: les morceaux de bois scié en morceaux faciles à manier et provenant d’un tronc d’arbre abattu sont répartis sur la place sèche, ce qui signifie: permission de mordiller. Hugo se ne fait pas prier – et les responsables espèrent que les chevaux laisseront ainsi les arbres des pâturages en paix. 

Hugo peut passer l’après-midi dehors sur le pâturage, du moins aussi longtemps que les pluies intensives annoncées pour la fin de semaine n’atteignent le Jeanbrenin. En le voyant descendre la légère pente au trot, on remarque qu’il ménage sa jambe au tendon blessé. Il boite encore légèrement. 

Aujourd’hui, contrôle de poids pour Hugo qui doit monter sur la balance. Les 535 kilos indiqués correspondent presque à ceux de l’automne dernier. Quelques dizaines de kilos en moins ne lui auraient pas fait de mal… En même temps, son pelage a été passé au crible fin, à la recherche de puces, car deux pensionnaires en ont. Par chance, rien chez Hugo.

Soigneurs et vétérinaire sont satisfaits des progrès de la guérison de la blessure de Hugo. Le médicament antiinflammatoire agit bien et la jambe est en plus douchée chaque jour, avant d’être enduite de pommade de camphre.

Le traitement de son tendon blessé apporte des améliorations, mais seul le temps montrera si Hugo pourra de nouveau marcher aussi bien qu’avant.

Son pelage est devenu si épais que Hugo ressemble de plus en plus à un ours. Cela signifiant qu’il est peut-être atteint de la maladie de Cushing, une analyse sanguine est effectuée. Heureusement, le résultat s’avère négatif!

Il ne manquait plus que cela: Hugo fait une allergie à l’argile appliquée sous forme de compresses et sa peau doit maintenant également être soignée. La pommade est changée et sa jambe sera douchée à l’eau froide demain.

L’épais manteau de neige qui recouvre le pâturage incite l’un ou l’autre des chevaux à piquer un petit galop dans la poudreuse. Parmi eux, Hugo, qui exprime sa joie de vivre. Hélas, son exubérance est de trop pour son tendon antérieur gauche. Résultat : déchirure partielle. La blessure est soignée à l’aide de douche froide, pommade et médicaments.

Un moment d’intimité. Lorsque le froid entoure hommes et chevaux, la tendresse fait du bien. La palefrenière Diane distribue une friandise à Hugo et à Jarl. Ou ne serait-ce qu’un mot doux ? Quoiqu’il en soit, les trois apprécient cet instant.

Quel bel automne; on ne vraiment pas invoquer des prémices de l’hiver! Températures douces, soleil, absence de brouillard et pâturages encore ouverts! Délivré des insectes si dérangeants durant l’été, Hugo ne se plaint pas et se contente même sans ronchonner de l’herbe devenue rare. À l’écurie l’attend de tout façon un bon repas (enfin, dans son cas, c’est plutôt que de la paille)…

Cette anné,e Hugo a vraiment eu de la peine à perdre son poil d’hiver. Afin de le soulager un peu, nous l’avons tondu lorsqu’il faisait vraiment trop chaud. La robe légère mais également les nouveaux copeaux versés sur la place le motivent toujours à nouveau pour jouer avec ses amis.

Ces derniers jours, Hugo a connu un véritable tourbillon des émotions. Tout à coup, il s’est vivement intéressé à Jörp. Cependant, la jument islandaise s’est montré très froide face au pauvre Hugo. A force de s’éreinter à suivre Jörp dans tous ses déplacements, Hugo a même perdu quelques kilos. Ses avances restant infructueuses, il a fini par abdiquer et la balance a retrouvé son équilibre.

Bien que les journées estivales soient maintenant bien présentes, Hugo n’a toujours pas perdu son poil d’hiver. Mais il profite de sa liberté sur les grands pâturages. Deux nouveaux arrivants font l’animation ces derniers temps. Mais cela ne perturbe pas le troupeau pour autant, les jours continuant de se dérouler paisiblement sur notre magnifique montagne.

Si on ne tenait compte que du poil d’Hugo, on pourrait croire qu’on est encore au cœur de l’hiver. Cet haflinger n’a pas encore changé sa robe épaisse contre son poil d’été. À son avis, les nuits sont encore un peu fraiches pour cela. Hugo et les autres chevaux ont beaucoup de plaisir à lécher les pierres à sel disposées ci et là sur l’aire de sortie en dur.

En cette période de mue, le grattage mutuel est d’une importance capitale pour se délivrer de ce manteau d’hiver devenu gênant. Ceci pouvait être particulièrement bien observé dans le cas de Hugo. Alors qu’il était profondément occupé à se gratter avec un collègue, les éventuels perturbateurs étaient rapidement chassés. Rien ni personne n’est en droit d’interrompre ces instants de massage bienfaisant!

Hugo et le nouveau venu ne se sont pas liés comme nous l’espérions. Le hongre a été quelque peu dépassé par l’envie effréné de jouer d’Hugo. Celui-ci a ainsi fait preuve de nettement moins de tact que Santos qui reste notre atout pour l’intégration des nouveaux dans le troupeau.

L’hiver semble définitivement être la saison préférée d’Hugo qui est encore plus leste qu’il ne l’est déjà habituellement. Cela se remarque par exemple lors de la rentrée à l’écurie. Ce malicieux Haflinger file alors de boxe en boxe, à la recherche de quelques grains de nourriture à engloutir.

Le Jeanbrenin a de nouveau accueilli un nouveau. Lascar et Santos ont ainsi passé quelques jours sur la place avec la jument Lena afin de faciliter son intégration. Hugo n’a pas trouvé cela très drôle; pour lui, le troupeau doit être réuni. Ce Haflinger sportif a pris quelques kilos, comme l’a confirmé le passage sur la balance. Cela est très bien pour affronter les froides journées hivernales.

Il y a un peu plus d’une semaine, le bel hongre Irlandais Little Diamond, appelé Litti, a emménagé au Jeanbrenin. Pour son intégration, il a tout d’abord été lâché sur un pâturage à part, en compagnie de Santos et de quelques Haflingers, dont Hugo. Celui-ci ne trouvait cependant pas drôle d’être séparé du troupeau. À chaque tombée de la nuit, il hennissait bruyamment, appelant ses collègues. Il a même reçu un coup du nouveau venu, coup qui n’a laissé heureusement que quelques égratignures. Depuis lors, Litti a rejoint le grand troupeau et Hugo a donc retrouvé ses amis. Le temps actuel, frais et venteux anime le groupe qui bouge beaucoup. Ce qui permet d’observer les belles allures dynamique d’Hugo.

Hugo profite des journées estivales au Jeanbrenin : il joue volontiers et souvent avec ses collègues, se remplit la panse et apprécie chaque visite. Car il est de sûr l’un des cheval du troupeau le plus attaché à l’homme.

Hugo aime jouer et est affectueux comme jamais auparavant. En principe, c’est un cheval très équilibré. Mais dernièrement, des visiteurs qui se tenaient vers la barrière ont donné des pommes et des carottes aux chevaux sur la place sèche, ce qui a provoqué une bagarre au sein du troupeau. Il y a eu des coups de sabots. C’est pourquoi nous prions nos visiteuses et visiteurs de ne pas distribuer la nourriture apportée, mais de la remettre aux palefreniers. Nourrir soi-même les animaux provoque une agitation inutile dans le troupeau. Merci pour votre respect !